Irlande 2022

COURSE FEATURES

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Les BTS GDEA 2ème année en séjour pédagogique en Irlande...

 

 Notre voyage en Irlande...
 
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Lundi 14 novembre, nous sommes partis de la MFR a 17h en bus. Nous avons pris la route en direction de l'aéroport de Nantes et nous y avons manger
Après avoir réalisé l'enregistrement de nos bagages, nous avons décoller a 23h15 et nous sommes arrivés à 23h45 a l'heure irlandaise. Après avoir récupéré nos bagages nous avons été dispatcher dans nos familles. Nous sommes des groupes de 2/3 ou 4 personnes par famille.
Mardi 15 novembre, nous avons pris le petit déjeuner dans nos familles d'accueil, nous nous sommes ensuite rendus en direction de l'arrêt de bus vers 11h pour visiter la ville de Dublin.
En premier nous avons pique-niquer dans le parc Phoenix, c'est un ancien parc de chasse qui est devenu public, il a une superficie de 700 hectares entretenue par l'état et qui héberge un troupeau de plus de 400 daims. La maison du président et du ministre se trouve dans ce parc.
Ensuite notre guide nous a fait découvrir les points importants de la ville pendant le trajet en bus jusqu'au musée d'histoire naturelle d'Irlande, où l'on a pu observer la faune typique irlandaise.
Ensuite nous avons eu 2h de temps libre dans les rues touristique de Dublin, nous avons pu visiter les parcs de la ville et les rues commerçantes
Pour finir la journée nous sommes retournés dans nos familles respectives pour diner
For the first day of our trip to Ireland
Monday 14 November we left the MFR at 5pm by bus. We took the road towards the airport of nantes and we ate there
After checking in our luggage, we took off at 11.15pm and arrived at 11.45pm Irish time. 
After collecting our luggage we were dispatched to our families.
We are groups of 2/3 or 4 people per family.
On Tuesday 15 November we had lunch among our host families, then we went towards the bus stop around 11am to visit the city of Dublin.
First we picnic in Phoenix Park, it’s a former hunting park that became public, it has an area of 700 hectares and houses a herd of over 400 deer, the house of the president and the minister is located in this park.
Then our guide showed us the highlights of the city during the bus ride to the Natural History Museum of Ireland, where we could observe the typical Irish wildlife.
Then we had 2 hours of free time in the tourist streets of Dublin, we could visit the city parks and shopping streets
To end the day we returned to our respective families for dinner
 
 
Et les jours suivants...
 
Notre journée a commencé dans les alentours de huit heures pour un départ de Dublin dans les alentours de neuf heures et demie en direction de la concession Lyons and Burton. Cette concession est en activité depuis 40 ans. Elle est principalement composée de la marque New hollande que l’on retrouve sur trois sites dans le pays. 12 personnes travaillent sur le site que nous avons visité. Dans ces 12 personnes, il y a trois mécaniciens, le reste étant sur le parc ou commercial. La clientèle de cette entreprise est une clientèle variée, même s’il y a beaucoup de céréaliers, d’éleveurs bovins et d’éleveurs de chevaux. Les machines vendues sur site sont principalement les marques New Holland mc hale et Amazon ainsi que des marques locales. Ils réalisent aussi la vente de robots de tontes de la marque huqsvarna, qu’ils vendent en particulier aux nombreux terrains de golf en Irlande.
Après la visite du concessionnaire, nous avons pris la route pour un élevage laitier familial, depuis une centaine d’années (1900). Cet élevage est composé principalement de vaches laitières avec environ une centaine de vaches à traire. Pour ce faire, ils ont installé 2 robots de traite Lely astronaute A4. Ils ont installé les robots il y a environ huit ans dû à des problèmes de santé et pour pouvoir dégager plus de temps au reste des tâches. L’élevage comporte également une trentaine de génisses pour le renouvellement du cheptel. Pour ce qui concerne l’alimentation du cheptel, l’exploitation est autosuffisante en fourrage avec une surface de 90 ha composés principalement de prairies. Dans ces 90 ha, il y en a 30 consacrés à un mélange, choux, haricots Ray grass qui servira également d’alimentation pour le bétail. L’exploitation réalise elle-même les travaux dans les champs avec l’aide de leur frère entrepreneur.
En Irlande, il y a 20 % d’exploitations ovines. Les autres exploitations sont des exploitations céréalières, laitières ou bovines. Les exploitations en Irlande comportent une superficie moyenne d’environ 35 ha. Au niveau du cheptel, les Broutard sont envoyés à l’Orient proche. Le bœuf est exporté sur l’Angleterre et les agneaux sont exportés majoritairement pour la France. Les agriculteurs ont besoin de subventions et généralement possèdent un travail en dehors de leur ferme.
 
 
Quelques jours avant la fin...
 
Pour ce jeudi, on a commencé par une belle journée plutôt nuageuse avec le ramassage de tout le monde de 8h30 à 9h45 ensuite direction la visite sur l'association des agriculteurs en Irlande où nous avons rencontré des professionnels du secteur bovins et de l'horticulture. Nous sommes arrivés sur le lieu de la rencontre après 30 minutes de route, nous avons été accueillis très chaleureusement avec café et de nombreuses viennoiseries. Marc le Président de l'association et 4 intervenants nous ont expliqués leur association créée au début du 20ème siècle. Elle constitue 140 personnes dans les bureaux pour 75 000 membres agriculteurs avec une grande partie de plus 65 ans, le but de leur bureau est de suivre les agriculteurs dans leurs démarches administratives par exemple, mais aussi d'expliquer comment fonctionne l'agriculture à la population comment est cultiver leurs nourritures et comment sont élevés les animaux, comme dans les écoles. Ils sont sur les réseaux sociaux comme sur Tik Tok Instagram Facebook Snapchat pour que les membres suivre plus facilement même si cela reste plus difficile pour leurs plus anciens membres. Il dispose aussi d'une application. Le bureau aiguille les agriculteurs pour les aides PAC notamment sur des changements. Le secteur des aides biologique va passer d'une hausse de 25% au total de 50% et sur les fermes conventionnelles une baisse de 25 % des aides, cela a un impact sur les revenus soit 30 % en baisse en fonction des systèmes de production. Sur toutes les productions produites en Irlande, 71% part pour l'export à l'international et vers l'Angleterre même si cela a été réduit à cause du brexit. La visite s'est terminée vers 11h30 avec une photo en compagnie des personnes qui nous ont accueillis, ensuite direction la prochaine visite.
Nous sommes arrivées sur la seconde visite de la journée vers 12h30 pour pouvoir manger le repas distribué par les familles avant de commencer la visite vers 13h, dans le parc national de Wicklow, la guide a commencé par nous expliquer l'histoire du monastère du 19 siècle, le nom de ce monastère est Glendalough cathédral. Elle nous a fait une petite visite rapide du lieu qui se constitue d'un cimetière et de 7 églises plus ou moins détruites par des bombardements. Ensuite nous avons effectué une marche autour du lac de Glendalough upper Lake. En découvrant de beaux paysages, nous avons effectué un circuit de marche d'environ 1h30 autour de ce lac pour ensuite revenir au car et prendre la route du retour ce qui nous a permis de découvrir divers paysages.  Pour terminer nous avons réalisé la tournée de retour dans les familles des premiers pour 16 h 30 et les derniers aux alentours de 18h00
Le reste de la soirée était du temps libre par groupe.
 
 
Les 2 derniers jours...
 
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Nous sommes allés visiter une entreprise située à Boris en Irlande, où sont fabriqués des outils permettant de récolter de l’herbe pour pouvoir la redistribuer aux animaux directement après la récolte. Cette technique s’appelle le zéro pâturage. L’entreprise Grass Technologies conçoit également des tonnes à lisier. L’entreprise a été créée en 2014 car le directeur, ancien salarié de l’entreprise KEENAN, trouvait que la gestion des fourrages était bien gérée l’hiver grâce aux bols mélangeurs, mais pas l’été car il n’y avait aucune alternative pour garder le bétail dans les stabules. Il a donc, avec des collaborateurs, créé une machine permettant de récolter le fourrage et de le distribuer au bétail ainsi qu’un outil pour épandre le lisier sur les prairies. Aujourd’hui, l’entreprise réalise un chiffre d'affaires de plus de 9 millions d’euros et est présent dans quasiment toute l’Europe hormis la France. 

Nous sommes donc arrivés à l’entreprise vers 11h, nous avons été accueillis par le directeur de l’entreprise qui nous a fait visiter la production :

- la matière première est tout d’abord découpée grâce à un robot de découpe laser pour les tôles et pour les tubes. Ils sont découpés à la scie à ruban ou à la meuleuse. Les tôles sont ensuite mises en forme grâce à plusieurs presses. 

- Les soudeurs vont ensuite placer les tubes pour concevoir l’auto-chargeuse sur une table de pointage pour être précis sur le placement des tubes. Ainsi la structure ne bouge pas lors de la soudure et la conception de la cuve peut se faire plus rapidement. Les cylindres sont d’abord pointés et ensuite soudés à l’intérieur et à l’extérieur. La qualité de la soudure est très importante. 

- Pendant le montage le fond mouvant est regroupé avec le système de fonctionnement, ainsi que la partie attelage, sur l’avant de la machine avec le système de fauche et les essieux. 

- Une fois le montage de l’auto-chargeuse et de la tonne à lisier fini, elles passent en peinture. 

- Les machines sont ensuite nettoyées. Les derniers éléments tels que les boîtiers de renvoie d’angle, les tôles de la caisse, les assiettes, les flexibles et systèmes de protection sont montés sur l’auto-chargeuse. Pour la tonne à lisier, les flexibles et les pendillards sont montés. 

- Pour finir l’entreprise réalise une phase de tests où la machine est poussée à maximum pour contrôler sa qualité. Les essais sont filmés pour éviter les problèmes et montrer les machines aux clients.  

 La fabrication des machines n’est réalisée que sur commande : ils n’ont donc pas de stock. Les délais de fabrication sont d’environ 3 mois. L’entreprise produit environ 300 auto-chargeuses et 260 tonnes à lisier par an. Pour la partie fauche elle se fournit chez KUHN et pour les broyeurs de rampes elle se fournit chez BOMECH. Pour le montage d’une machine il faut en moyenne 45 heures. L’entreprise dispose d’une gamme de faucheuse auto-chargeuse de 10 à 32m3 et des tonnes à lisier de 5000 à 22000L avec des pendillards de 7,5 m à 10m. 

Nous sommes ensuite aller visiter une ferme Biologique à coté de Wexford. Passé en appellation Biologique depuis 20 ans elle compte environ 100 ha dont 16 ha de terre cultivable 84 ha de pâture
Sur les 16 ha l’agriculteur réalise quand même des rotations constitué de
4 ha Avoine, blé petits pois
4 ha avoine petits pois pour l’alimentation
4 ha d’avoine pour le porridge
4 ha trèfle rouge et des mélanges de Ray-grass
L’agriculteur a 23 vaches allaitantes de la race Simmental qui vêlent entre mars et mai il réalise sa reproduction naturellement avec deux taureau (Angus et Stabiliser) car 2% des fermes sont bio ce qui rend très dur le renouvellement de ses bêtes avec un autre troupeau. Il a pour objectif de remplacer son cheptel par la race Stabiliser qui est moins gourmande en fourrage et dont les veaux sont également moins fragiles elle pâture donc du mois de février à début novembre en moyenne et lors de la partie en stabulation elles ont on mélange de trèfle rouge et ray-grass. Il garde 8 génisses pour l’abattoir.
Il a également un cheptel de 120 Brebis qui agnellent à partir du mois d’avril les races principales sont Belclaire et texel il a choisi ces races là car elles sont plus résistantes aux parasites ils les laissent toute l’année à l’extérieur il les met dans des parcelles pour nettoyer après une culture ou après le passage des vaches.
Il a également deux truies et un porc dont il engraisse les porcelets pour en faire de la charcuterie mais il a de plus en plus de mal à trouver des personnes pour les abattent.
Il réalise les aliments lui-même ces aliments et essaie de réaliser les moins de frais possible.
Au retour nous nous sommes arrêtés dans la outlet de Kildare Village pour ensuite retourner dans nos familles
 

 

Pour la dernière journée chez nos familles d'accueil...
Nous nous sommes réveillés vers 7 heures. Nous avons profité de notre dernier petit déjeuner pour les remercier et leur offrir un petit cadeau de chez nous. Puis nous avons fait nos valises et se fût l'heure des au revoir.  Vers 8 heures, nous nous sommes rendus à notre point de rassemblement afin d'attendre le bus. Le programme de cette matinée est la visite du musée irlandais de l'émigration (EPIC) qui se situe à Dublin.
 

Nous sommes arrivés à destination du musée à Dublin à 10h. Ce musée EPIC raconte l'histoire des gens qui ont quitté l'île d'Irlande. Le musée à 21 salles qui représentent toute l'émigration irlandaise depuis plusieurs siècles. La première salle présente l'arrivée des émigrants au cours des ans par la mer avec des moyens de transports comme des couraxes (bateaux en bois) mais également des avions en direction d'autres pays comme l'Angleterre et les États-Unis. Des zones de contrôles ont été mises en place pour les émigrants à leur entrée dans d'autres pays afin qu'ils soient acceptés ou non. La croyance de l'Irlande est d'aider un maximum les populations en tant que soigneur ou en leur donnant de la nourriture. Par exemple, on peut voir que les irlandais œuvrent énormément pour éviter que les femmes se prostituent pour gagner de l'argent. Les habitants ne gagnaient pas bien leur vie, ils étaient donc obligés de partir dans des pays étrangers car les fermes et les terrains étaient plus grands et plus fertiles. Beaucoup d'Irlandais sont partis en Angleterre pour avoir une meilleure rémunération et pour aider leurs familles à survivre. Pendant la famine, ils mangeaient principalement des pommes de terre. Pendant cette période, 1 millions d'Irlandais sont morts de faim ou souffraient à cause de blessures. Les Irlandais avaient des conflits, mais ils étaient courageux lors des combats. Les Irlandais avaient peur, ils fuyaient leur pays.  

La loi irlandaise est également l’une des raisons pour lesquelles les gens fuyaient le pays à partir du 17ème siècle. Par exemple, les citoyens catholiques n’avaient pas le droit de voter. Il y avait 4000 orphelins Irlandais arrivés aux États-Unis et aussi dans l'outre-mer.   

L’Irlande, qui est un petit pays mais a tout de même eu de fortes influences par exemple dans le sport, la chanson, ou même en politique... Celles-ci qui ont permis de pousser l'Irlande vers le haut grâce à des personnages célèbres. Les sports gaéliques, spécialités irlandaises (foot, hockey, curling), se développent dans plusieurs pays grâce aux Irlandais. De nombreux scientifiques d’origine irlandaise ont fait des nouvelles découvertes et inventions principalement dans le milieu des sciences et de la médecine à travers le monde. Le peuple irlandais manifeste pour avoir plus de liberté et d'essayer de faire entendre leurs idées à d'autres pays. La musique irlandaise permet de rendre la population heureuse. Les Irlandais et les étrangers sont les bienvenus dans les bars et les Irlandais se réunissent toujours dans un pub pour communiquer et pour partager de beaux moments autour d'une bonne bière.  

Les Irlandais ont énormément d'impact dans le domaine des arts et du design et ont par exemple, eu une influence dans la création du film Harry Potter. Les Irlandais adorent les histoires. Dans l’une des salles du musée on trouve une bibliothèque qui raconte deux identités irlandaises et parle de leurs passés. Les Irlandais possèdent des fêtes culturelles comme la principale fête de l'Irlande qui est la Saint Patrick et qui se déroule le 17 mars.  

Pour conclure ce musée parle d'une vie irlandaise entre 1700 à aujourd'hui. La vie des Irlandais fut parfois assez rude, mais elle est aussi très riche et aujourd'hui le pays se développe dans la technologie. Il y a moins de problème d'émigration. 

Après la visite du musée, nous avons eu un dernier quartier libre dans la ville de Dublin avant de nous diriger vers l'aéroport où nous sommes arrivés vers 14h00. Après plusieurs minutes de recherche nous avons trouvé le point d'enregistrement où nous avons déposé nos valises et nous avons attendus l'heure de vol en direction de la France et plus précisément à Nantes. Le début du vol était à 17h15 et nous sommes arrivés en France à 19h50 en ajoutant le décalage horaire. Suite au vol, nous avons récupéré nos valises et avons retrouvé notre car qui allait nous ramener en direction de la MFR de la PIGNERIE pour une arrivée autour de 23h. 

Nous avons été très ravis de faire se voyage en Irlande car il nous a permis d'améliorer notre niveau d'anglais et surtout de découvrir un nouveau pays, une autre manière de vivre. Ce voyage nous a également permis de passer de merveilleux moments, que ce soit tous ensemble mais avec aussi avec nos familles d'accueil qui ont eu la gentillesse de nous accueillir.

 

Merci aux BTS pour ces comptes-rendus...

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